« À quoi bon emprunter sans cesse le même vieux sentier ? Vous devez tracer des sentiers vers l’inconnu. Si je ne suis pas moi, qui le sera ? »
Henry David Thoreau (1817-1862) quitte à vingt-huit ans sa ville natale pour aller vivre seul dans la forêt, près du lac Walden. Il a pour habitude de marcher au moins quatre heures par jour. Avec cet éloge de la marche, exercice salutaire et libérateur, Thoreau fait l’apologie de l’éveil à soi par la communion avec la nature.
Traduit de l’anglais (États-Unis) par Thierry Gillyboeuf
Henry David Thoreau (1817-1862) quitte à vingt-huit ans sa ville natale pour aller vivre seul dans la forêt, près du lac Walden. Il a pour habitude de marcher au moins quatre heures par jour. Avec cet éloge de la marche, exercice salutaire et libérateur, Thoreau fait l’apologie de l’éveil à soi par la communion avec la nature.
Traduit de l’anglais (États-Unis) par Thierry Gillyboeuf