Comment une jeune fi lle née de parents turcs aux Pays-Bas, élevée dans un islam rigoriste en désaccord avec les usages de l’école, gagne-t-elle son indépendance ? Et à quel prix ?
Cette question, Büsra tente d’y répondre depuis l’adolescence par une révolte de tous les instants. À présent étudiante en littérature à l’université d’Amsterdam, réfugiée chez sa grand-mère qui la défend contre le reste de sa famille, elle navigue comme elle peut entre les diktats traditionalistes, ses amours secrètes, la fac, son petit boulot de serveuse, l’islamophobie d’une partie des Néerlandais et son aspiration à plus de liberté. Avec un humour cinglant porté par une langue querelleuse et brillante, Büsra se raconte et tente de tracer son propre chemin.
Je vais vivre, premier roman de Lale Gül inspiré de sa vie, a suscité polémiques et menaces de mort dès sa sortie aux Pays-Bas. Preuve s’il en faut de l’importance cruciale de ce récit brûlant, un cri du coeur adressé à toutes les femmes en lutte pour leur émancipation.
Traduit du néerlandais par Daniel Cunin
Lale Gül est étudiante en littérature néerlandaise à l’université libre d’Amsterdam. Jusqu’à l’âge de dix-sept ans, elle a fréquenté, le weekend, une école coranique de la Fondation Milli Görus.
Cette question, Büsra tente d’y répondre depuis l’adolescence par une révolte de tous les instants. À présent étudiante en littérature à l’université d’Amsterdam, réfugiée chez sa grand-mère qui la défend contre le reste de sa famille, elle navigue comme elle peut entre les diktats traditionalistes, ses amours secrètes, la fac, son petit boulot de serveuse, l’islamophobie d’une partie des Néerlandais et son aspiration à plus de liberté. Avec un humour cinglant porté par une langue querelleuse et brillante, Büsra se raconte et tente de tracer son propre chemin.
Je vais vivre, premier roman de Lale Gül inspiré de sa vie, a suscité polémiques et menaces de mort dès sa sortie aux Pays-Bas. Preuve s’il en faut de l’importance cruciale de ce récit brûlant, un cri du coeur adressé à toutes les femmes en lutte pour leur émancipation.
Traduit du néerlandais par Daniel Cunin
Lale Gül est étudiante en littérature néerlandaise à l’université libre d’Amsterdam. Jusqu’à l’âge de dix-sept ans, elle a fréquenté, le weekend, une école coranique de la Fondation Milli Görus.