Ce cinquième volume des OEuvres complètes d'Ismail Kadaré comprend les romans Chronique de pierre et Novembre d'une capitale, ainsi que trois récits, Trois temps, dont les sujets se situent à la veille de la Seconde Guerre mondiale, puis dans la période même du conflit et dans les premières années qui le suivirent, quand, en Albanie, fut instaurée la dictature communiste.
De sombres nuées, tantôt analogues à celles du passé, tantôt dissemblables, s'amoncellent à l'horizon de cette ère nouvelle qui promettait d'être celle de la liberté, mais se révèle être derechef celle d'une servitude, à cette différence près qu'elle a été édifiée par les Albanais eux-mêmes.
Cette époque de profonds bouleversements coïncide avec l'enfance et l'adolescence de l'auteur. Ces textes sont quasiment les seuls de son oeuvre qui revêtent un net coloris autobiographique, généralement peu perceptible dans le reste de sa création.
A l'exception de la Chronique de pierre, tous les textes de ce volume sont présentés pour la première fois au public français.
De sombres nuées, tantôt analogues à celles du passé, tantôt dissemblables, s'amoncellent à l'horizon de cette ère nouvelle qui promettait d'être celle de la liberté, mais se révèle être derechef celle d'une servitude, à cette différence près qu'elle a été édifiée par les Albanais eux-mêmes.
Cette époque de profonds bouleversements coïncide avec l'enfance et l'adolescence de l'auteur. Ces textes sont quasiment les seuls de son oeuvre qui revêtent un net coloris autobiographique, généralement peu perceptible dans le reste de sa création.
A l'exception de la Chronique de pierre, tous les textes de ce volume sont présentés pour la première fois au public français.