« En scène » depuis l?âge de deux ans et demi, Marina Vlady donne sa première réplique à Gaby Morlay devant une caméra à l?âge de dix ans?
24 images/seconde est l?occasion de « tourner » avec elle autour du monde, d?Espagne en Italie et d?Afrique en Russie, d?évoquer maintes grandes figures du cinéma mondial : John Huston, Alberto Sordi, Anna Magnani, Marcello Mastroianni?, pratiquement tous les acteurs de cette génération ou de la précédente, autant de metteurs en scène, aussi divers que Jean-Luc Godard, Ettore Scola, Marco Ferreri ou Orson Welles.
Mais ce ne serait là qu?un bel album, si chaque portrait de comédien ou chaque évocation de film n?était l?occasion de faire pénétrer le lecteur dans les arcanes du milieu lui-même et trouver réponse à ces questions que chacun se pose en voyant jouer un acteur ou une actrice : comment choisit-on un scénario ? Pourquoi accepte-t-on de tourner un premier film promis à l?insuccès ? Comment se manifeste l?irrépressible envie d?un rôle quand on est prêt(e) à tout pour l?obtenir ? Comment mime-t-on l?amour sous l?oeil de la caméra (et des techniciens) ? Comment évite-t-on de se répéter, de ressembler au « rôle-phare » auquel les autres veulent à tout prix vous identifier ? Et l?actrice n?oublie pas non plus d?évoquer la part la plus créatrice et sans doute la plus vibrante d?une carrière de comédienne : le théâtre.
Ce livre est aussi l?occasion pour Marina Vlady de raconter des souvenirs beaucoup plus personnels. C?est Simone Signoret qui lui avait conseillé d?écrire son premier livre sur Vissotsky. C?est Léon Schwarzenberg, son dernier compagnon, qui lui tint lieu de premier lecteur pour le manuscrit de 24 images/seconde.
Un livre où chacune et chacun de ceux qui ont hanté les salles obscures au fil de ces dernières décennies retrouvera le chemin parcouru par Marina Vlady en un demi-siècle d?histoire du cinéma.
24 images/seconde est l?occasion de « tourner » avec elle autour du monde, d?Espagne en Italie et d?Afrique en Russie, d?évoquer maintes grandes figures du cinéma mondial : John Huston, Alberto Sordi, Anna Magnani, Marcello Mastroianni?, pratiquement tous les acteurs de cette génération ou de la précédente, autant de metteurs en scène, aussi divers que Jean-Luc Godard, Ettore Scola, Marco Ferreri ou Orson Welles.
Mais ce ne serait là qu?un bel album, si chaque portrait de comédien ou chaque évocation de film n?était l?occasion de faire pénétrer le lecteur dans les arcanes du milieu lui-même et trouver réponse à ces questions que chacun se pose en voyant jouer un acteur ou une actrice : comment choisit-on un scénario ? Pourquoi accepte-t-on de tourner un premier film promis à l?insuccès ? Comment se manifeste l?irrépressible envie d?un rôle quand on est prêt(e) à tout pour l?obtenir ? Comment mime-t-on l?amour sous l?oeil de la caméra (et des techniciens) ? Comment évite-t-on de se répéter, de ressembler au « rôle-phare » auquel les autres veulent à tout prix vous identifier ? Et l?actrice n?oublie pas non plus d?évoquer la part la plus créatrice et sans doute la plus vibrante d?une carrière de comédienne : le théâtre.
Ce livre est aussi l?occasion pour Marina Vlady de raconter des souvenirs beaucoup plus personnels. C?est Simone Signoret qui lui avait conseillé d?écrire son premier livre sur Vissotsky. C?est Léon Schwarzenberg, son dernier compagnon, qui lui tint lieu de premier lecteur pour le manuscrit de 24 images/seconde.
Un livre où chacune et chacun de ceux qui ont hanté les salles obscures au fil de ces dernières décennies retrouvera le chemin parcouru par Marina Vlady en un demi-siècle d?histoire du cinéma.