« Aimer, c’est agir », disait Victor Hugo, qui pratiqua le journalisme à sa manière, entre mille engagements. En ces temps incertains, au beau milieu de choix politiques, un journaliste peut-il encore prétendre à l’objectivité ? Doit-il demeurer simple témoin ? N’a-t-il pas plutôt le devoir de s’impliquer dans certains des événements qu’il a à relater ?
Oui, répond Patrick Poivre d’Arvor, sans doute le journaliste le plus renommé de France. Il rappelle ce que furent les engagements de ses glorieux aînés dans les siècles passés et parle pour la première fois de ses propres combats : aux côtés de l’Unicef, dont il est l’ambassadeur, de Reporters sans Frontières, pour qui il a effectué de nombreuses missions, des adolescents en difficulté (il est à l’origine de la Maison de Solenn, du nom de sa fille disparue), et de bien d’autres causes…
« Une existence se résume à la somme de ses engagements », écrit-il. Une réflexion enthousiaste sur ce qui fonde nos vies : l’action et la passion.
Oui, répond Patrick Poivre d’Arvor, sans doute le journaliste le plus renommé de France. Il rappelle ce que furent les engagements de ses glorieux aînés dans les siècles passés et parle pour la première fois de ses propres combats : aux côtés de l’Unicef, dont il est l’ambassadeur, de Reporters sans Frontières, pour qui il a effectué de nombreuses missions, des adolescents en difficulté (il est à l’origine de la Maison de Solenn, du nom de sa fille disparue), et de bien d’autres causes…
« Une existence se résume à la somme de ses engagements », écrit-il. Une réflexion enthousiaste sur ce qui fonde nos vies : l’action et la passion.