La violence semble aujourd’hui prise dans un processus d’escalade qui rappelle la propagation du feu ou celle d’une épidémie ; mais en dehors des grandes images mythiques qui ressurgissent, les mots manquent pour dire ou décrire ce qui risque de nous submerger. C’est à quoi s’attelle, depuis 1961, la théorie mimétique de René Girard, comme le montrent les essais rassemblés dans ce recueil.
L’auteur y revient sur son analyse des ressorts de l’imitation, essentielle pour comprendre les dangers qui nous menacent. Il s’élève contre le relativisme qui mine les pensées contemporaines. Il revient sur l’apport décisif que constitue, selon lui, l’anthropologie chrétienne, et précise les points qui l’attachent ou l’opposent à Claude Lévi-Strauss.
Les grandes lignes de sa pensée sont enfin remises en perspective dans un dialogue très accessible, qui fait de ce livre une véritable introduction à l’une des grandes pensées de notre temps.
L’auteur y revient sur son analyse des ressorts de l’imitation, essentielle pour comprendre les dangers qui nous menacent. Il s’élève contre le relativisme qui mine les pensées contemporaines. Il revient sur l’apport décisif que constitue, selon lui, l’anthropologie chrétienne, et précise les points qui l’attachent ou l’opposent à Claude Lévi-Strauss.
Les grandes lignes de sa pensée sont enfin remises en perspective dans un dialogue très accessible, qui fait de ce livre une véritable introduction à l’une des grandes pensées de notre temps.