Inédit
En France, où la « Constitution » européenne commence enfin à être débattue au fond, les partisans de son approbation sont sur la défensive. Au lieu d'argumenter sur le contenu exact de ce traité, ils se réfugient dans des slogans ou des pétitions de principe. Telle n'a pas été la démarche d'Attac qui a lu ses quatre parties (448 articles), ses 36 protocoles, ses 2 annexes et ses 48 déclarations.
C'est le résultat de ce travail d'investigation qui est présenté aux lecteurs et électeurs. Ils découvriront, références à l'appui, que ce traité constitutionnel, même s'il contient quelques avancées, est avant tout un instrument pour mettre définitivement l'Union européenne - et donc chacun de ses États membres - aux normes libérales. S'il était ratifié, il rendrait problématique toute alternance politique. Surtout, il empêcherait l'Europe de jouer le rôle émancipateur qui devrait être le sien.
En France, où la « Constitution » européenne commence enfin à être débattue au fond, les partisans de son approbation sont sur la défensive. Au lieu d'argumenter sur le contenu exact de ce traité, ils se réfugient dans des slogans ou des pétitions de principe. Telle n'a pas été la démarche d'Attac qui a lu ses quatre parties (448 articles), ses 36 protocoles, ses 2 annexes et ses 48 déclarations.
C'est le résultat de ce travail d'investigation qui est présenté aux lecteurs et électeurs. Ils découvriront, références à l'appui, que ce traité constitutionnel, même s'il contient quelques avancées, est avant tout un instrument pour mettre définitivement l'Union européenne - et donc chacun de ses États membres - aux normes libérales. S'il était ratifié, il rendrait problématique toute alternance politique. Surtout, il empêcherait l'Europe de jouer le rôle émancipateur qui devrait être le sien.