Comme annoncé dès le début de leur publication, ce dernier volume (augmenté d'un index des noms cités) – qui va de 1951 à la fondation de l'Internationale situationniste en 1957 – précède chronologiquement les sept volumes déjà publiés de la Correspondance de Guy Debord.
Ont été regroupés, en annexe, des rectificatifs, mais principalement de nombreuses "lettres retrouvées" – le plus souvent d'ailleurs auprès de leurs propres destinataires ou ayants droit. Toutefois, malgré les lacunes particulièrement regrettables au regard des années 50, rien, semblerait-il, n’est tout à fait à désespérer.
En effet, l'État français, qui s'est, depuis 2009, porté acquéreur de l'ensemble des « Archives Guy Debord », – le bruit qu’on en a fait est pour nous plaire : car la gloire est un scandale – les a, de surcroît, classées au rang exceptionnel de Trésor national.