Il ne supportait la vie au sol que sous les lustres des fêtes ou entre les bras d’une femme. Sans cesse il aspirait à repartir, fendre les nuages, s’approcher du firmament.
Héros de la première guerre mondiale, ailier du mythique Baron rouge, membre de cette nouvelle chevalerie du ciel où les combats acharnés n’excluaient pas le respect de l’adversaire, il a tenté ensuite, la paix revenue, de reprendre son envol pour le compte d’une industrie en plein essor, le cinéma, qui l’a emmené à Hollywood.
Puis la guerre a une fois de plus déchiré l’Europe. Pour lui qui se moquait éperdument de la politique, c’était seulement l’occasion de voler, voler encore, voler toujours.
Quitte à entrer sans le savoir dans les plans d’une propagande qui le dépassait.
Quitte à être manipulé…
Passionné d’aviation, Stéphane Koechlin retrouve dans ce nouveau roman son univers familier et ce style unique pour décrire les prouesses des pilotes qui valut son succès à La légende du Baron Rouge. Mais l’épopée, dans le cas d’Udet, se transforme en tragédie personnelle : celle d’un ancien héros instrumentalisé et broyé par l’histoire.
Stéphane Koechlin est journaliste et écrivain. Outre La légende du baron rouge (Fayard, 2009), succès critique et public, il a notamment signé Juré (Flammarion, 2005) et Le vent pleure Marie (Fayard, 2012).
Héros de la première guerre mondiale, ailier du mythique Baron rouge, membre de cette nouvelle chevalerie du ciel où les combats acharnés n’excluaient pas le respect de l’adversaire, il a tenté ensuite, la paix revenue, de reprendre son envol pour le compte d’une industrie en plein essor, le cinéma, qui l’a emmené à Hollywood.
Puis la guerre a une fois de plus déchiré l’Europe. Pour lui qui se moquait éperdument de la politique, c’était seulement l’occasion de voler, voler encore, voler toujours.
Quitte à entrer sans le savoir dans les plans d’une propagande qui le dépassait.
Quitte à être manipulé…
Passionné d’aviation, Stéphane Koechlin retrouve dans ce nouveau roman son univers familier et ce style unique pour décrire les prouesses des pilotes qui valut son succès à La légende du Baron Rouge. Mais l’épopée, dans le cas d’Udet, se transforme en tragédie personnelle : celle d’un ancien héros instrumentalisé et broyé par l’histoire.
Stéphane Koechlin est journaliste et écrivain. Outre La légende du baron rouge (Fayard, 2009), succès critique et public, il a notamment signé Juré (Flammarion, 2005) et Le vent pleure Marie (Fayard, 2012).