Je m’attache très facilement est le récit clinique de trois jours d’une Bérézina amoureuse. Un homme (« notre héros »), bientôt atteint par la cinquantaine, décide de rejoindre en Écosse une jeune maîtresse (« notre héroïne »). Sa visite, pour attendue qu’elle soit, n’est pas véritablement désirée. « Notre héros » s’en doute, mais rien ne l’arrête. Ça se termine mal, donc bien. Et vice versa.
Cette chronique d’une débâcle a pourtant reçu en 2007 le « Prix du roman d’amour ».
Cette chronique d’une débâcle a pourtant reçu en 2007 le « Prix du roman d’amour ».