La non-violence, ce n’est ni la passivité ni le renoncement à l’action. Ce n’est pas non plus le pacifisme naïf ni l’aspiration inconséquente à une forme de pureté morale. Il s’agirait plutôt d’une entreprise politique de rupture avec le monde et ses propres impulsions.
Alors que le recours à la violence est souvent présenté comme le mode de résistance le plus radical, Judith Butler propose de régénérer la non-violence comme idéal.
Le projet de constituer la non-violence comme nouvel imaginaire politique n’est pas une utopie. À travers ses discussions de Fanon, Freud, Benjamin, Arendt, Foucault…, la philosophe entreprend de fonder une éthique politique sur les notions d’interdépendance, d’égalité et d’anti-individualisme.
Ce livre s’est imposé dès sa parution comme un classique de la théorie politique contemporaine.
Judith Butler est philosophe, professeure à l’Université de Berkeley. Elle est l’auteure notamment de Trouble dans le genre (La Découverte, 2005), Vers la cohabitation (Fayard, 2013) et Rassemblement (Fayard, 2016).
Alors que le recours à la violence est souvent présenté comme le mode de résistance le plus radical, Judith Butler propose de régénérer la non-violence comme idéal.
Le projet de constituer la non-violence comme nouvel imaginaire politique n’est pas une utopie. À travers ses discussions de Fanon, Freud, Benjamin, Arendt, Foucault…, la philosophe entreprend de fonder une éthique politique sur les notions d’interdépendance, d’égalité et d’anti-individualisme.
Ce livre s’est imposé dès sa parution comme un classique de la théorie politique contemporaine.
Judith Butler est philosophe, professeure à l’Université de Berkeley. Elle est l’auteure notamment de Trouble dans le genre (La Découverte, 2005), Vers la cohabitation (Fayard, 2013) et Rassemblement (Fayard, 2016).