Spécialiste de la physique du globe et de la géochimie, prix Crafoord pour ses travaux scientifiques, Claude Allègre a été ministre de l'Education nationale, de la recherche et de la technologie de Lionel Jospin. Il s’est distingué au printemps 2007 par des plus extrêmes réserves vis-à-vis de la candidature de Ségolène Royal à l’élection présidentielle. Il a récemment été l’auteur de deux grands succès de librairie, publié conjointement par Plon et Fayard : Ma vérité sur la planète (contre les thèses de Nicolas Hulot) et La Défaite en chantant.
Il a publié de nombreux livres chez Fayard, parmi lesquels : L'Ecume de la Terre (1983 et 1999), De la Pierre à l'étoile (1985 et 1996), Economiser la planète (1990), Introduction à une histoire naturelle (1992 et 2001), La Défaite de Platon (1995), Dieu face à la science (1997), et Un peu de science pour tout le monde (2003).
De février 2007 à février 2008, Claude Allègre a tenu un journal dont l’exergue est cette citation de Montaigne : « J’ai pu me mêler des charges publiques sans me départir de moi de la largeur d’un ongle. » C’est ce qu’on peut reconnaître à Claude Allègre : il n’a pas sa langue dans sa poche et n’a pas la langue de bois. Il alterne ici l’évocation de sa vie de savant, bien plus discrète que l’autre, mais foisonnante, et sa vie publique plus turbulente : ici se trouvent dévoilés les dessous de l’« ouverture » sarkozyste et éclairés de manière inégalée les circonstances de la défaite de la candidate socialiste et ses conséquences.
Le ton d’une seconde exergue donne le « la » de cet ouvrage riche d’anecdotes, corrosif et coruscant : « Ne sois pas plus sage que nécessaire, tu deviendrais stupide » (L’Ecclésiaste).
Il a publié de nombreux livres chez Fayard, parmi lesquels : L'Ecume de la Terre (1983 et 1999), De la Pierre à l'étoile (1985 et 1996), Economiser la planète (1990), Introduction à une histoire naturelle (1992 et 2001), La Défaite de Platon (1995), Dieu face à la science (1997), et Un peu de science pour tout le monde (2003).
De février 2007 à février 2008, Claude Allègre a tenu un journal dont l’exergue est cette citation de Montaigne : « J’ai pu me mêler des charges publiques sans me départir de moi de la largeur d’un ongle. » C’est ce qu’on peut reconnaître à Claude Allègre : il n’a pas sa langue dans sa poche et n’a pas la langue de bois. Il alterne ici l’évocation de sa vie de savant, bien plus discrète que l’autre, mais foisonnante, et sa vie publique plus turbulente : ici se trouvent dévoilés les dessous de l’« ouverture » sarkozyste et éclairés de manière inégalée les circonstances de la défaite de la candidate socialiste et ses conséquences.
Le ton d’une seconde exergue donne le « la » de cet ouvrage riche d’anecdotes, corrosif et coruscant : « Ne sois pas plus sage que nécessaire, tu deviendrais stupide » (L’Ecclésiaste).