Au printemps 2021, lorsque les médias publient les « Facebook Files », Frances Haugen se fait connaître comme l’ancienne employée à l’origine de la fuite de dizaines de milliers de documents de l’entreprise. Elle témoigne devant le Congrès, parle à la presse, s’assure que tout le monde comprend ce que les documents révèlent : non seulement Facebook a défini son algorithme pour favoriser l’extrémisme, mais le réseau social savait que ses utilisateurs se servaient de la plateforme pour répandre la haine, les fake news et les violences misogynes.
La Vérité sur Facebook est un récit exaltant et terrible, l’histoire d’une femme qui s’est construite à contre-courant et dont le destin l’a menée à faire trembler l’un des géants d’Internet. C’est aussi, pour la première fois, la révélation au grand jour de la culture d’entreprise et des pratiques terrifiantes de Facebook.
Traduit de l’anglais (États-Unis) par Raymond Clarinard
Frances Haugen est scientifique, ingénieure de données et lanceuse d’alerte. Elle a travaillé chez Google, Yelp et Pinterest avant de rejoindre Facebook en 2019 au département d’intégrité civique. Au printemps 2021, elle a divulgué des dizaines de milliers de documents internes à la Securities and Exchange Commission et au Wall Street Journal, révélant la complicité de Facebook dans la radicalisation et la progression de la violence politique dans le monde.
La Vérité sur Facebook est un récit exaltant et terrible, l’histoire d’une femme qui s’est construite à contre-courant et dont le destin l’a menée à faire trembler l’un des géants d’Internet. C’est aussi, pour la première fois, la révélation au grand jour de la culture d’entreprise et des pratiques terrifiantes de Facebook.
Traduit de l’anglais (États-Unis) par Raymond Clarinard
Frances Haugen est scientifique, ingénieure de données et lanceuse d’alerte. Elle a travaillé chez Google, Yelp et Pinterest avant de rejoindre Facebook en 2019 au département d’intégrité civique. Au printemps 2021, elle a divulgué des dizaines de milliers de documents internes à la Securities and Exchange Commission et au Wall Street Journal, révélant la complicité de Facebook dans la radicalisation et la progression de la violence politique dans le monde.