Elles s'appelaient Divine, Elisa, Marie en Tête, Marie Coups de Sabre, Marguerite, Aglaé, Caca, Bijou, Olympia, Pépé la Panthère, Poil ras, Poil long, Crucifix, Irma, Amanda, Octavie, Belle Cuisse, Titine, Pieds fins, Paulette, La Grimpée, Gina, Nana, Fernande, Rosa...
On les nommait courtisanes, filles de joie, de nuit, d'allégresse, de beuglant, d'amour, filles en circulation, filles à parties, à barrière, pierreuses, soupeuses, marcheuses, cocottes, hétaïres, horizontales, trotteuses, visiteuses d'artistes, lorettes, frisettes, biches, pieuvres, aquatiques, demi-castors, célibataires joyeuses, vénus crapuleuses...
A travers le récit de la vie de ces femmes d'amour, Laure Adler voudrait qu'enfin justice leur soit rendue. Ni obscènes, ni esclaves, les prostituées ont marqué du sceau du désir qu'elles inspiraient toute une histoire des moeurs.
Laure AdIer, éditeur, journaliste à France Culture et à Canal Plus, est une spécialiste de l'histoire des sentiments. Après Secrets d'alcôves, histoire du couple de 1830 à 1930 (Hachette 1983), elle a publié L'Amour à l'arsenic : histoire de Marie Lafarge (Denoël, 1986).
On les nommait courtisanes, filles de joie, de nuit, d'allégresse, de beuglant, d'amour, filles en circulation, filles à parties, à barrière, pierreuses, soupeuses, marcheuses, cocottes, hétaïres, horizontales, trotteuses, visiteuses d'artistes, lorettes, frisettes, biches, pieuvres, aquatiques, demi-castors, célibataires joyeuses, vénus crapuleuses...
A travers le récit de la vie de ces femmes d'amour, Laure Adler voudrait qu'enfin justice leur soit rendue. Ni obscènes, ni esclaves, les prostituées ont marqué du sceau du désir qu'elles inspiraient toute une histoire des moeurs.
Laure AdIer, éditeur, journaliste à France Culture et à Canal Plus, est une spécialiste de l'histoire des sentiments. Après Secrets d'alcôves, histoire du couple de 1830 à 1930 (Hachette 1983), elle a publié L'Amour à l'arsenic : histoire de Marie Lafarge (Denoël, 1986).