Kant semble avoir vécu dans la chasteté la plus cmplète. On ne lui connaît ni épouse ni maîtresse. C'est du moins ce que prétendent ses biographes.
Philosophe français méconnu, Jean-Baptiste Botul (1896-1947) s'est penché sur ce délicat problème à l'occasion de conférences prononcées en mai 1946 au Paraguay. Il y expose pour la première fois la thèse selon laquelle "les philosophes ont inventé un moyen extraordinaire de se reproduire : ils ne pénètrent pas, ils se retirent. Ce retrait porte un nom : la mélancolie".
Ce texte retrouvé dans les archives de Botul, qui éclaire d'un jour nouveau La Vie sexuelle d'Emmanuel Kant, est ici présenté par Frédéric Pagès, agrégé de philosophie.
Philosophe français méconnu, Jean-Baptiste Botul (1896-1947) s'est penché sur ce délicat problème à l'occasion de conférences prononcées en mai 1946 au Paraguay. Il y expose pour la première fois la thèse selon laquelle "les philosophes ont inventé un moyen extraordinaire de se reproduire : ils ne pénètrent pas, ils se retirent. Ce retrait porte un nom : la mélancolie".
Ce texte retrouvé dans les archives de Botul, qui éclaire d'un jour nouveau La Vie sexuelle d'Emmanuel Kant, est ici présenté par Frédéric Pagès, agrégé de philosophie.