Au cours d'une longue carrière de chevauchées et de cavalcades, Jean-Louis Gouraud a sillonné le monde: l'Afrique (il a été rédacteur en chef de Jeune Afrique pendant près de dix ans), la Russie (en 1990, il a rallié à cheval Paris à Moscou : 3333 km en 75 jours), et aussi l'Asie centrale, l'Inde, la Chine.
Journaliste, éditeur, cavalier (cavaleur ?), galopeur (galopin ?), il pense comme le poète arabe que « Le paradis de la terre se trouve sur le dos des chevaux, / Dans le fouillement des livres, / Ou bien entre les deux seins d'une femme ».
Amateur de chevaux, amoureux des femmes, il leur trouve une stupéfiante ressemblance. Depuis quinze ans il collectionne les témoignages de ceux qui, comme lui, s'interrogent: « le cheval est-il une femme comme les autres ? »
De la Bible à nos jours, d'Aristote à Apollinaire, des poètes et des prophètes, des cavaliers et des piétons ont établi des comparaisons, osé des amalgames, fait des constatations qui constituent la présente anthologie. Les deux cents textes, de cent cinquante auteurs, réunis ici par Jean-Louis Gouraud le prouvent : « féminin » par son aspect (croupe, crinière) ou par son tempérament (imprévisible), le cheval est aussi symbole de force, de fougue amoureuse, de virilité. Il est à la fois celui qu'on monte et celui qui monte. Bref, l'animal le plus sexué de la création, et, par excellence, l'animal de l'amour.
Journaliste, éditeur, cavalier (cavaleur ?), galopeur (galopin ?), il pense comme le poète arabe que « Le paradis de la terre se trouve sur le dos des chevaux, / Dans le fouillement des livres, / Ou bien entre les deux seins d'une femme ».
Amateur de chevaux, amoureux des femmes, il leur trouve une stupéfiante ressemblance. Depuis quinze ans il collectionne les témoignages de ceux qui, comme lui, s'interrogent: « le cheval est-il une femme comme les autres ? »
De la Bible à nos jours, d'Aristote à Apollinaire, des poètes et des prophètes, des cavaliers et des piétons ont établi des comparaisons, osé des amalgames, fait des constatations qui constituent la présente anthologie. Les deux cents textes, de cent cinquante auteurs, réunis ici par Jean-Louis Gouraud le prouvent : « féminin » par son aspect (croupe, crinière) ou par son tempérament (imprévisible), le cheval est aussi symbole de force, de fougue amoureuse, de virilité. Il est à la fois celui qu'on monte et celui qui monte. Bref, l'animal le plus sexué de la création, et, par excellence, l'animal de l'amour.