Révolutionnaire professionnel, quelle foutaise! L'argent manquait, on en était parfois de notre poche sans pour autant faire la révolution.
Sonner aux portes des HLM et vendre " Le prolétaire Libéré " à la sortie des métros, c'est pas une vie. J'y croyais pourtant mais j'ai fini par foutre le camp avec la caisse.
Les camarades n'ont pas été d'accord, vraiment pas.
Sonner aux portes des HLM et vendre " Le prolétaire Libéré " à la sortie des métros, c'est pas une vie. J'y croyais pourtant mais j'ai fini par foutre le camp avec la caisse.
Les camarades n'ont pas été d'accord, vraiment pas.