Darwin a laissé un Tour du monde d'un naturaliste. Sur ce modèle et sur celui, plus connu, du Phileas Fogg de Jules Verne, Jean-Marie Pelt raconte en quarante étapes le périple planétaire d'un spécialiste et défenseur de l'environnement.
Partant de son village lorrain natal, il longe le Rhin, traverse les forêts d'Europe centrale, remonte vers la Russie, sillonne la Sibérie avec une étape obligée au bord du lac Baïkal, rejoint l'Alaska, descend sur Mexico, remonte l'Orénoque jusqu'à la forêt amazonienne, avant de gagner l'île de Pâques, le Bangladesh, les Maldives, le Kenya, les rives du Nil, le Liban, la Grèce, le Ténéré, pour finir sur la Côte d'Azur.
Chaque station est l'occasion d'évoquer les ravages causés par l'homme à l'écosystème planétaire _ pollution des fleuves, déforestation, pluies acides, érosion des sols, destruction de la couche d'ozone, réchauffement de l'atmosphère, mégapoles et grands travaux, accidents nucléaires, déchets toxiques, etc. _ mais aussi parfois les initiatives prises pour le protéger ou le restaurer.
Ce livre " vert " sur l'état de la planète, écrit dans le style alerte et imagé qui séduit tant le public de plus en plus large de Jean-Marie Pelt, " l'homme qui sait faire parler les plantes ", est promis à devenir un classique de l'écologie moderne.
Jean-Marie Pelt est professeur de biologie végétale et de pharmacognosie à l'université de Metz, président de l'Institut européen d'écologie.
Partant de son village lorrain natal, il longe le Rhin, traverse les forêts d'Europe centrale, remonte vers la Russie, sillonne la Sibérie avec une étape obligée au bord du lac Baïkal, rejoint l'Alaska, descend sur Mexico, remonte l'Orénoque jusqu'à la forêt amazonienne, avant de gagner l'île de Pâques, le Bangladesh, les Maldives, le Kenya, les rives du Nil, le Liban, la Grèce, le Ténéré, pour finir sur la Côte d'Azur.
Chaque station est l'occasion d'évoquer les ravages causés par l'homme à l'écosystème planétaire _ pollution des fleuves, déforestation, pluies acides, érosion des sols, destruction de la couche d'ozone, réchauffement de l'atmosphère, mégapoles et grands travaux, accidents nucléaires, déchets toxiques, etc. _ mais aussi parfois les initiatives prises pour le protéger ou le restaurer.
Ce livre " vert " sur l'état de la planète, écrit dans le style alerte et imagé qui séduit tant le public de plus en plus large de Jean-Marie Pelt, " l'homme qui sait faire parler les plantes ", est promis à devenir un classique de l'écologie moderne.
Jean-Marie Pelt est professeur de biologie végétale et de pharmacognosie à l'université de Metz, président de l'Institut européen d'écologie.