Les premières femmes déportées arrivent à Auschwitz
en mars 1942.
Juives polonaises, grecques ou encore belges : par centaines, elles sont regroupées au sein du bloc 10 et livrées au Dr Clauberg. Connu pour ses travaux sur la stérilisation sans opération, par injection ou par irradiation, l’homme est chargé d’expérimenter ses pratiques sur ces femmes jugées inférieures par le régime nazi. Peu survivent, trois cents tout au plus. Ce livre raconte leur histoire.
Dans cet ouvrage à la plume élégante et incarnée, Hans-Joachim Lang retrace minutieusement la vie de ces femmes au sein du bloc 10, leur quotidien de cobayes humains, les journées interminables rythmées par l’ennui et par les expériences insoutenables.
Hans-Joachim Lang est journaliste et historien, professeur honoraire d’étude des civilisations à l’Université de Tübingen. Il est l’auteur de plusieurs ouvrages sur les crimes du nazisme et est notamment parvenu à identifier 86 victimes dont les crânes avaient été conservés par August Hirt à l’Université de Strasbourg. Il a publié à leur sujet un livre, Die Namen der Nummern (Des noms derrière les numéros), qui a remporté le prix de la Fondation Auschwitz en 2004.
en mars 1942.
Juives polonaises, grecques ou encore belges : par centaines, elles sont regroupées au sein du bloc 10 et livrées au Dr Clauberg. Connu pour ses travaux sur la stérilisation sans opération, par injection ou par irradiation, l’homme est chargé d’expérimenter ses pratiques sur ces femmes jugées inférieures par le régime nazi. Peu survivent, trois cents tout au plus. Ce livre raconte leur histoire.
Dans cet ouvrage à la plume élégante et incarnée, Hans-Joachim Lang retrace minutieusement la vie de ces femmes au sein du bloc 10, leur quotidien de cobayes humains, les journées interminables rythmées par l’ennui et par les expériences insoutenables.
Hans-Joachim Lang est journaliste et historien, professeur honoraire d’étude des civilisations à l’Université de Tübingen. Il est l’auteur de plusieurs ouvrages sur les crimes du nazisme et est notamment parvenu à identifier 86 victimes dont les crânes avaient été conservés par August Hirt à l’Université de Strasbourg. Il a publié à leur sujet un livre, Die Namen der Nummern (Des noms derrière les numéros), qui a remporté le prix de la Fondation Auschwitz en 2004.