Les nouvelles noires de Frédéric H. Fajardie valent mieux encore que sa bonne réputation d'auteur de polars. Elles sont portées par une vision du monde unique : implacable sur les rapports humains, profondément marquée par l'Histoire et les forces politiques contradictoires qui traversent une société, et pourtant pleine d'une indéniable tendresse pour certains de ses personnages.
L'Homme de Berlin, son huitième recueil de nouvelles (1989), constitue indéniablement l'un de ses derniers ensembles de textes pénétrés de l'atmosphère particulière de la guerre froide ; et de l'esprit de la révolution. Il y passe comme une prémonition de la fin de ce temps.
Frédéric H. Fajardie est l'auteur d'une trentaine de romans et romans noirs, et de plus de trois cents nouvelles, qu'il publie régulièrement en recueils. Avec Les Foulards rouges, il a remporté en 2001 trois prix littéraires : des Maisons de la Presse, Jend'heur du Roman historique et Paul-Féval de la Société des gens de lettres.
L'Homme de Berlin, son huitième recueil de nouvelles (1989), constitue indéniablement l'un de ses derniers ensembles de textes pénétrés de l'atmosphère particulière de la guerre froide ; et de l'esprit de la révolution. Il y passe comme une prémonition de la fin de ce temps.
Frédéric H. Fajardie est l'auteur d'une trentaine de romans et romans noirs, et de plus de trois cents nouvelles, qu'il publie régulièrement en recueils. Avec Les Foulards rouges, il a remporté en 2001 trois prix littéraires : des Maisons de la Presse, Jend'heur du Roman historique et Paul-Féval de la Société des gens de lettres.