Comment surmonter le grand drame de nos vies, quitter le foyer familial, se retrouver loin de chez soi ? A 26 ans, Emma Roberts étouffe dans l'ombre de sa mère, une veuve taciturne. Elle se refuse à embrasser le même destin qu'elle et décide de partir en France afin d'y étudier l'art des jardins.
Dans le Paris des années soixante-dix, Emma découvre avec ravissement les moeurs françaises, ce subtil mélange de décontraction et de raffinement. Elle se lie d'amitié avec Françoise Desnoyers, comme elle fille unique d'une veuve possessive. Mais autant Emma est mélancolique et posée, autant son amie est vive et délurée. Hélas, ce charmant intermède parisien prend soudainement fin : Emma doit rejoindre Londres où sa mère vient de mourir brutalement, Françoise, quant à elle, est rappelée à ses obligations sociales: sa mère veut à tout prix la marier à un beau parti afin de sauver le somptueux manoir familial de la ruine...
Entre Londres et Paris, Emma cherche un lieu où elle se sentirait vraiment chez elle, depuis lequel elle parviendrait enfin à se frotter au monde. Mais lorsqu'on est perdue loin de soi et des autres, a-t-on d'autre choix que de mener une existence aussi rectiligne qu'un jardin à la française ?
Dans le Paris des années soixante-dix, Emma découvre avec ravissement les moeurs françaises, ce subtil mélange de décontraction et de raffinement. Elle se lie d'amitié avec Françoise Desnoyers, comme elle fille unique d'une veuve possessive. Mais autant Emma est mélancolique et posée, autant son amie est vive et délurée. Hélas, ce charmant intermède parisien prend soudainement fin : Emma doit rejoindre Londres où sa mère vient de mourir brutalement, Françoise, quant à elle, est rappelée à ses obligations sociales: sa mère veut à tout prix la marier à un beau parti afin de sauver le somptueux manoir familial de la ruine...
Entre Londres et Paris, Emma cherche un lieu où elle se sentirait vraiment chez elle, depuis lequel elle parviendrait enfin à se frotter au monde. Mais lorsqu'on est perdue loin de soi et des autres, a-t-on d'autre choix que de mener une existence aussi rectiligne qu'un jardin à la française ?