Le décor: l'hôpital John Carpendar, imposant établissement d'époque victorienne abritant plusieurs services, dont une école d'infirmières. La première victime: une des élèves, tuée d'une manière particulièrement atroce. Les suspects: les infirmières, et, au premier chef, la directrice, la formidable Mary Taylor, et ses trois " secondes ", mais aussi le grand patron, le docteur Courtney-Briggs, dont on découvre bientôt qu'il a eu une liaison avec l'une des victimes. L'enquêteur: le commissaire Dalgliesh, bien sûr, qui, face à des femmes aguerries à la souffrance, dures à la tâche, habituées au secret professionnel, et farouchement féministes, aura fort à faire pour dénouer une intrigue dont les ramifications plongent loin dans le passé.
Un P.D. James grand cru, qui valut à son auteur deux distinctions prestigieuses: la Dague d'or de l'Association des Ecrivains policiers britanniques et l'Edgar américain.
Née en 1920, Phyllis Dorothy James a dirigé un des laboratoires médico-légaux de la police criminelle anglaise avant de se consacrer entièrement à l'écriture. Ses intrigues habiles, son style raffiné de femme cultivée, ses descriptions vigoureusement naturalistes de la vie anglaise d'aujourd'hui lui ont valu d'être sacrée " nouvelle reine du crime ". Un certain goût pour la mort (Mazarine, 1987) a obtenu le Grand Prix de littérature policière 1988.
Un P.D. James grand cru, qui valut à son auteur deux distinctions prestigieuses: la Dague d'or de l'Association des Ecrivains policiers britanniques et l'Edgar américain.
Née en 1920, Phyllis Dorothy James a dirigé un des laboratoires médico-légaux de la police criminelle anglaise avant de se consacrer entièrement à l'écriture. Ses intrigues habiles, son style raffiné de femme cultivée, ses descriptions vigoureusement naturalistes de la vie anglaise d'aujourd'hui lui ont valu d'être sacrée " nouvelle reine du crime ". Un certain goût pour la mort (Mazarine, 1987) a obtenu le Grand Prix de littérature policière 1988.