« Quelques vieilles barbes de Boston vous raconteront que je ne suis pas seulement le père du président. Je suis un voyou, un menteur. Ça les arrangerait même que j’aie fabriqué de l’alcool à l’époque des Incorruptibles. Ils oublient qu’il y a bien d’autres manières d’être redoutable. Mes concitoyens veulent du cinéma. Je leur en ai offert. »
Un vieillard tout-puissant frappé par un AVC l’année même où il a atteint le but de sa vie – l’élection de son fils à la Maison-Blanche –, voilà qui ressemble à une punition divine. Si on ajoute la mort violente de quatre de ses enfants, et même la condamnation d’un cinquième, Rosemary, victime d’une terrible erreur médicale, on a, réunis, tous les ingrédients de la malédiction.
Joe Kennedy (1888-1969) a inventé la politique au xxe siècle. Dans la conquête du pouvoir, il s’est réservé « la part du diable ».
Près de cinquante ans après sa mort, l’un des hommes les plus détestés de son siècle est magistralement tiré du silence par Danièle Georget : voici le roman vrai et intime d’une famille légendaire. La sacrée histoire d’un Irlandais magnat de Hollywood, qui fut le véritable inventeur des Kennedy.
« L’important n’est pas ce que l’on est, l’important est ce que les autres croient que l’on est. »
Un vieillard tout-puissant frappé par un AVC l’année même où il a atteint le but de sa vie – l’élection de son fils à la Maison-Blanche –, voilà qui ressemble à une punition divine. Si on ajoute la mort violente de quatre de ses enfants, et même la condamnation d’un cinquième, Rosemary, victime d’une terrible erreur médicale, on a, réunis, tous les ingrédients de la malédiction.
Joe Kennedy (1888-1969) a inventé la politique au xxe siècle. Dans la conquête du pouvoir, il s’est réservé « la part du diable ».
Près de cinquante ans après sa mort, l’un des hommes les plus détestés de son siècle est magistralement tiré du silence par Danièle Georget : voici le roman vrai et intime d’une famille légendaire. La sacrée histoire d’un Irlandais magnat de Hollywood, qui fut le véritable inventeur des Kennedy.
« L’important n’est pas ce que l’on est, l’important est ce que les autres croient que l’on est. »