« Cet ouvrage s’excuse presque d’exister. Sa rédaction a été très ardue, sa mise en chantier différée pendant des semaines et des mois. »
À la suite du prix Nobel de littérature nigérian Wole Soyinka, dix écrivains africains se rendirent à Kigali, après le génocide de 1994. Ce texte est l’un de ces témoignages.
Avec une exemplaire humilité face à l’horreur des faits rapportés, Abdourahman Waberi nous transmet les paroles entendues, les choses vues, les confidences recueillies.
À la suite du prix Nobel de littérature nigérian Wole Soyinka, dix écrivains africains se rendirent à Kigali, après le génocide de 1994. Ce texte est l’un de ces témoignages.
Avec une exemplaire humilité face à l’horreur des faits rapportés, Abdourahman Waberi nous transmet les paroles entendues, les choses vues, les confidences recueillies.