Fils d'industriel, Albert de Melville est entré dans la Résistance aux côtés des communistes. Lorsque l'Armée Rouge libère le camp nazi où l'ont conduit ses convictions politiques, Albert croit à la promesse d'un monde nouveau.
Il se trompe. Interrogé par les Russes, qui l'emmènent à Moscou, il se retrouve sous les verrous. Les portes du Goulag se referment sur lui. Pourtant, une lueur brille encore dans la nuit qui vient d'engloutir Albert de Melville. Avant de disparaître, il a connu un amour bref et violent avec une jeune Française, Bulle, déportée elle aussi par les Allemands. De retour à Paris, Bulle lutte pour retrouver le disparu et obtenir sa libération, aidée par Marie, la mère d'Albert.
Tandis que le dégel succède à la guerre froide, et que les Grands décident du sort des nations, un homme et deux femmes gardent le fol espoir de se retrouver un jour.
Car c'est bien l'Histoire qui s'engouffre dans ce roman dont les héros font l'amour sous le feu des canons, tandis que les cavaliers mongols bivouaquent sur les débris fumants de l'Europe orientale. Le vent qui balaye les camps sibériens emporte avec lui les quelques secrets auxquels se résume une vie: la fidélité à un amour perdu, la découverte de la fraternité et le refus obstiné de la barbarie.
Né en 1948, Patrick Meney entre en 1973 à l'A.F.P. Correspondant à Rome, envoyé spécial à Téhéran pendant la révolution islamique, puis dans divers pays, son séjour à Moscou (de 1980 à 1983) l'a profondément marqué.
Après un premier livre sur l'U.R.S.S., La Kleptocratie, il publie en 1984 Les Mains coupées de la Taïga, un document hallucinant sur les Français internés au Goulag. Il a obtenu le Prix Albert Londres en 1983.
Il se trompe. Interrogé par les Russes, qui l'emmènent à Moscou, il se retrouve sous les verrous. Les portes du Goulag se referment sur lui. Pourtant, une lueur brille encore dans la nuit qui vient d'engloutir Albert de Melville. Avant de disparaître, il a connu un amour bref et violent avec une jeune Française, Bulle, déportée elle aussi par les Allemands. De retour à Paris, Bulle lutte pour retrouver le disparu et obtenir sa libération, aidée par Marie, la mère d'Albert.
Tandis que le dégel succède à la guerre froide, et que les Grands décident du sort des nations, un homme et deux femmes gardent le fol espoir de se retrouver un jour.
Car c'est bien l'Histoire qui s'engouffre dans ce roman dont les héros font l'amour sous le feu des canons, tandis que les cavaliers mongols bivouaquent sur les débris fumants de l'Europe orientale. Le vent qui balaye les camps sibériens emporte avec lui les quelques secrets auxquels se résume une vie: la fidélité à un amour perdu, la découverte de la fraternité et le refus obstiné de la barbarie.
Né en 1948, Patrick Meney entre en 1973 à l'A.F.P. Correspondant à Rome, envoyé spécial à Téhéran pendant la révolution islamique, puis dans divers pays, son séjour à Moscou (de 1980 à 1983) l'a profondément marqué.
Après un premier livre sur l'U.R.S.S., La Kleptocratie, il publie en 1984 Les Mains coupées de la Taïga, un document hallucinant sur les Français internés au Goulag. Il a obtenu le Prix Albert Londres en 1983.