Comment, à travers de petits faits, des histoires de vie, cerner son époque, en rendre compte avec la scrupuleuse attention d'un archiviste médiéval ou d'un mandarin chinois ? Comment ne pas négliger histoire et sociologie sans oublier qu'il s'agit avant tout de littérature ? Comment utiliser fiction et imaginaire pour traverser la période allant de Pompidou à Chirac II, des années 70 aux années 2000, d'un siècle l'autre ?
Au rythme d'environ une nouvelle par mois pendant près de trente ans, soit 350 nouvelles, Frédéric Fajardie s'est lancé dans une entreprise sans équivalent dans les lettres françaises. Mêlant humour, drame, tendresse, violence, dérision, engagement, nostalgie, prenant pour pôles la terreur et la pitié par lesquelles Aristote définissait la tragédie, il compose une oeuvre qui se tourne vers l'avenir et tente d'apporter des éléments de réponse à ceux qui, dans quelques dizaines d'années, ne manqueront pas de s'interroger : « Mais comment en est-on arrivé là ? »
Cependant, Fajardie n'oublie pas qu'il est avant tout un écrivain très attentif au style, tel qu'en témoigne son évolution au fil des pages et des années. Un écrivain salué par les grands critiques contemporains, de Max-Pol Fouchet à Bernard Franck en passant par Renaud Matignon.
(Le tome 2 paraîtra chez Fayard en 2006)
Au rythme d'environ une nouvelle par mois pendant près de trente ans, soit 350 nouvelles, Frédéric Fajardie s'est lancé dans une entreprise sans équivalent dans les lettres françaises. Mêlant humour, drame, tendresse, violence, dérision, engagement, nostalgie, prenant pour pôles la terreur et la pitié par lesquelles Aristote définissait la tragédie, il compose une oeuvre qui se tourne vers l'avenir et tente d'apporter des éléments de réponse à ceux qui, dans quelques dizaines d'années, ne manqueront pas de s'interroger : « Mais comment en est-on arrivé là ? »
Cependant, Fajardie n'oublie pas qu'il est avant tout un écrivain très attentif au style, tel qu'en témoigne son évolution au fil des pages et des années. Un écrivain salué par les grands critiques contemporains, de Max-Pol Fouchet à Bernard Franck en passant par Renaud Matignon.