Boris Vian (1920–1959) passa comme un météore au milieu de notre siècle, laissant une trace éblouissante, énigmatique et inspiratrice. Dressé dans sa jeunesse insolente et éternelle, chantre des délires et des merveilles, alchimiste fécond du langage et des formes, messager audacieux de l’imaginaire, il nous offre des milliers de pages (roman, poésie, théâtre, critique, etc…) inspirées par la poésie des extrêmes et témoignant d’une volonté farouche de créer et de partager.
Cette œuvre énorme, méconnue ou mal jugée du vivant de l’auteur, mais consacrée désormais par la gloire populaire, la voici pour la première fois rassemblée en quinze volumes, en un ordre à la fois générique et chronologique, avec un texte plus fidèle à l’écriture originelle. Cette collection, hommage éclatant à un écrivain majeur, propose aux lecteurs d’entrer dans le XXIe siècle avec des rires et des larmes, la conscience d’une apocalypse intime démentie par l’opiniâtre joie de vivre.
Œuvres romanesques 2
Deux chefs-d’œuvre et un grand Sullivan (1947-1949). Très vite, Vian a formé son style pour organiser le jaillissement de son inspiration. L’Écume des jours fonde sa gloire depuis les années soixante, fiction née du jazz, de la jeunesse immortelle et pourtant de la mort implacable. Dans Les Fourmis, la farce surgit du drame, le grinçant croise le poignant, l’humour froid tient à distance les émotions. Les morts ont tous la même peau reprend le thème du racisme aux U.S.A. avec ses conséquences destructrices ; il est complété d’une nouvelle qui célèbre l’union d’Éros et Thanatos.
Gilbert Pestureau L’Écume des jours
Les Fourmis
Les morts ont tous la même peau
Les Chiens, le désir et la mort
Cette œuvre énorme, méconnue ou mal jugée du vivant de l’auteur, mais consacrée désormais par la gloire populaire, la voici pour la première fois rassemblée en quinze volumes, en un ordre à la fois générique et chronologique, avec un texte plus fidèle à l’écriture originelle. Cette collection, hommage éclatant à un écrivain majeur, propose aux lecteurs d’entrer dans le XXIe siècle avec des rires et des larmes, la conscience d’une apocalypse intime démentie par l’opiniâtre joie de vivre.
Œuvres romanesques 2
Deux chefs-d’œuvre et un grand Sullivan (1947-1949). Très vite, Vian a formé son style pour organiser le jaillissement de son inspiration. L’Écume des jours fonde sa gloire depuis les années soixante, fiction née du jazz, de la jeunesse immortelle et pourtant de la mort implacable. Dans Les Fourmis, la farce surgit du drame, le grinçant croise le poignant, l’humour froid tient à distance les émotions. Les morts ont tous la même peau reprend le thème du racisme aux U.S.A. avec ses conséquences destructrices ; il est complété d’une nouvelle qui célèbre l’union d’Éros et Thanatos.
Gilbert Pestureau
Les Fourmis
Les morts ont tous la même peau
Les Chiens, le désir et la mort