Quand je n'ai pas de bleu, je mets du rouge. Frédéric Grendel ne peut donc vivre sans couleurs. Le plus curieux est qu'il prétend ne pas les voir. A lire son ouvrage, on s'aperçoit vite que cette infirmité a des conséquences inattendues. Lorsque de Gaulle n'est plus, il admire Mitterrand.
Cette bizarrerie dans le comportement politique est cependant plus logique qu'il n'y paraît, elle obéit à un ordre, et peut-être à des ordres. Mais pour faire passer son message, Frédéric Grendel devait d'abord révéler son code, remonter assez loin dans le temps, et imposer son écriture.
Pour aller au terme de cet exercice dangereux, et mortel pour la réputation, il a organisé toutes ses défenses autour de l'ironie.
Cette bizarrerie dans le comportement politique est cependant plus logique qu'il n'y paraît, elle obéit à un ordre, et peut-être à des ordres. Mais pour faire passer son message, Frédéric Grendel devait d'abord révéler son code, remonter assez loin dans le temps, et imposer son écriture.
Pour aller au terme de cet exercice dangereux, et mortel pour la réputation, il a organisé toutes ses défenses autour de l'ironie.