En 1875-1876, alors que les Bulgares vivent depuis plusieurs siècles sous la coupe ottomane, des patriotes sillonnent le pays pour répandre les étincelles de l’insurrection et souffler sur les braises du soulèvement. Mais secouer l’indolence et vaincre les réticences d’un peuple qui doit faire l’apprentissage de la liberté n’est pas chose aisée.
C’est sur fond de l’insurrection bulgare manquée de 1876 qu’Ivan Vazov nous conte les aventures d’un héros imaginaire, Boïtcho Ognianov. Doté d’une volonté de fer et d’une foi en la Bulgarie inébranlable, celui-ci est soutenu dans sa tâche titanesque par l’amour de Rada, une jeune fille dont la vertu égale la beauté. Embuscades, intrigues et trahisons, coups du destin, évasions et combats émaillent le récit, tenant en haleine le lecteur jusqu’au dénouement final.
La plume nostalgique d’Ivan Vazov, en exil en Russie lorsqu’il écrivit Sous le joug, dresse un captivant portrait de la Bulgarie à la veille de son basculement dans la modernité, et en fait le personnage principal de cette oeuvre considérée comme le chef-d’oeuvre de la littérature romanesque bulgare.
C’est sur fond de l’insurrection bulgare manquée de 1876 qu’Ivan Vazov nous conte les aventures d’un héros imaginaire, Boïtcho Ognianov. Doté d’une volonté de fer et d’une foi en la Bulgarie inébranlable, celui-ci est soutenu dans sa tâche titanesque par l’amour de Rada, une jeune fille dont la vertu égale la beauté. Embuscades, intrigues et trahisons, coups du destin, évasions et combats émaillent le récit, tenant en haleine le lecteur jusqu’au dénouement final.
La plume nostalgique d’Ivan Vazov, en exil en Russie lorsqu’il écrivit Sous le joug, dresse un captivant portrait de la Bulgarie à la veille de son basculement dans la modernité, et en fait le personnage principal de cette oeuvre considérée comme le chef-d’oeuvre de la littérature romanesque bulgare.