Elle se voulait libre d'aimer et de peindre en un temps où seuls les hommes pouvaient prétendre à mener une vie de bohème.
Qui était donc cette Suzanne Valadon, qui, au début du siècle, brave préjugés et interdits par amour de son art ? Au-delà de tout scandale, sa vérité à elle tenait en un seul mot : la peinture. De ce désir de vivre pleinement et sans entrave naquit en effet - et quel qu'en fût le prix à payer pour elle et ses proches - une oeuvre puissante et singulière trop méconnue aujourd'hui.
Pourtant, il n'est pas de livre sur le Montmartre de la Belle Epoque qui ne parle de « Suzanne la folle » de la « mauvaise mère » d'Utrillo le maudit. Les biographes de Toulouse-Lautrec ou d'Erik Satie évoquent la maîtresse du peintre ou du musicien. Mais, à ce jour, en dehors de quelques monographies, aucun ouvrage ne lui était entièrement consacré : Suzanne Valadon n'existait qu'à travers les hommes de sa vie. La présente biographie romanesque vient réparer cet étrange oubli.
Qui était donc cette Suzanne Valadon, qui, au début du siècle, brave préjugés et interdits par amour de son art ? Au-delà de tout scandale, sa vérité à elle tenait en un seul mot : la peinture. De ce désir de vivre pleinement et sans entrave naquit en effet - et quel qu'en fût le prix à payer pour elle et ses proches - une oeuvre puissante et singulière trop méconnue aujourd'hui.
Pourtant, il n'est pas de livre sur le Montmartre de la Belle Epoque qui ne parle de « Suzanne la folle » de la « mauvaise mère » d'Utrillo le maudit. Les biographes de Toulouse-Lautrec ou d'Erik Satie évoquent la maîtresse du peintre ou du musicien. Mais, à ce jour, en dehors de quelques monographies, aucun ouvrage ne lui était entièrement consacré : Suzanne Valadon n'existait qu'à travers les hommes de sa vie. La présente biographie romanesque vient réparer cet étrange oubli.