Dans la grande tradition de l'alchimie, ces trois textes anciens sont des classiques. Ils sont ici transcrits, de la main d'Eugène Canseliet lui-même, d'après un très beau manuscrit du XVIIe siècle qui faisait partie de la bibliothèque de Fulcanelli.
Ce livre se présente donc comme le fac-similé d'un étonnant travail de calligraphie exécuté il y a plus de cinquante ans dans le respect et l'amour de la minutie des scribes d'autrefois pour qui écrire à la plume était un des Beaux-Arts.
L'auteur du premier de ces traités, le Chevalier Inconnu, acheva le Grand OEuvre avec succès. Les deux autres, Gobineau de Montluisant et Lavinius de Moravie, manifestent un tel savoir de l'élaboration philosophale qu'il est très vraisemblable qu'ils atteignirent, eux aussi, le niveau supérieur de la connaissance alchimique.
La réédition de ces trois traités est donc un événement pour les Curieux en général et les Etudiants en particulier, tant du fait de leur importance sur le plan de la science alchimique que par la rareté de ces oeuvres qui restaient encore, jusqu'à aujourd'hui, totalement introuvables.
Ce livre se présente donc comme le fac-similé d'un étonnant travail de calligraphie exécuté il y a plus de cinquante ans dans le respect et l'amour de la minutie des scribes d'autrefois pour qui écrire à la plume était un des Beaux-Arts.
L'auteur du premier de ces traités, le Chevalier Inconnu, acheva le Grand OEuvre avec succès. Les deux autres, Gobineau de Montluisant et Lavinius de Moravie, manifestent un tel savoir de l'élaboration philosophale qu'il est très vraisemblable qu'ils atteignirent, eux aussi, le niveau supérieur de la connaissance alchimique.
La réédition de ces trois traités est donc un événement pour les Curieux en général et les Etudiants en particulier, tant du fait de leur importance sur le plan de la science alchimique que par la rareté de ces oeuvres qui restaient encore, jusqu'à aujourd'hui, totalement introuvables.