En août 2001, un jeune homme âgé de vingt ans, étudiant en sciences politiques, s’installe à Tokyo : après un stage dans un grand journal parisien, il a eu l’audace de solliciter l’un des intellectuels les plus en vue de l’Archipel, Naoki Inose, qui a immédiatement accepté de l’accueillir parmi son équipe de travail. Entre-temps, son hôte, personnalité excentrique qui pratique le journalisme et publie des enquêtes décapantes sur l’état du Japon, est devenu conseiller du prince. Son laboratoire d’idées inspire le premier ministre Koizumi, nouvellement promu.
Cinq années durant - le temps de l’ère Koizumi -, Niels Planel assiste, aux premières loges, à la mise en oeuvre du vaste programme des réformes (réformes de la Régie des autoroutes, de la Poste, de la Fonction publique, décentralisation, etc.) élaborées par le premier ministre, mais aussi par son patron, « monsieur Inose ».
L’observateur, qui avait gardé de son enfance des images du Japon triomphant des années 1980, nous entraîne à sa suite à la découverte d’un autre Japon, changeant bien qu’étonnamment immuable.
Cinq années durant - le temps de l’ère Koizumi -, Niels Planel assiste, aux premières loges, à la mise en oeuvre du vaste programme des réformes (réformes de la Régie des autoroutes, de la Poste, de la Fonction publique, décentralisation, etc.) élaborées par le premier ministre, mais aussi par son patron, « monsieur Inose ».
L’observateur, qui avait gardé de son enfance des images du Japon triomphant des années 1980, nous entraîne à sa suite à la découverte d’un autre Japon, changeant bien qu’étonnamment immuable.