Publiée dans la Revue de Paris en 1829, Vanina Vanini reflète le goût de l'exhibition et de la dissimulation chères à Stendhal. Nouvelle travestie en chronique, faux drame amoureux, personnages déguisés, ce fait divers de l'Italie du XIXe siècle, qui met en scène une princesse, un révolutionnaire, une trahison et, pour finir, la mort, reflète parfaitement le goût des masques de l'auteur du Rouge et le Noir.